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    Un disque dur SSD qu’est-ce que c’est ?

    Un disque dur traditionnel est un matériel informatique qui permet de stocker de grandes quantités de données numériques. Son rôle est de conserver ces données de façon permanente. Ce support de stockage magnétique se définit souvent comme une mémoire de masse.

    Le disque dur SSD, moins traditionnel, a fait son apparition depuis quelques années. Ce dernier n’a cependant pas la même technologie qu’un traditionnel.

     

    Les caractéristiques d’un disque dur SSDdisque dur SSD

    Le disque dur SSD (Solid State Drive) a été implanté dans les années 2000. C’est une version améliorée des clés USB. Il possède une mémoire flash. Les données sauvegardées dans les puces mémoires de ce disque ne nécessitent aucune action mécanique pour les lire.

     

    Sa performance

    Par rapport à un disque HDD, le SSD a une vitesse d’exécution remarquable. Donc, les fichiers désirés sont accessibles en un temps record.

    Plusieurs capacités de stockage existent, allant jusqu’à 16 To.

     

    Son mécanisme

    Doté d’une mémoire flash, le disque SSD a une plus grande durabilité dans le temps et une plus grande performance. Grâce à ce mécanisme, il possède donc de nombreux avantages :

    • Ne chauffe pas.
    • Est beaucoup plus léger, plus résistant et plus compacte qu’un autre disque dur.
    • Est totalement silencieux puisqu’il ne possède aucune pièce mécanique en mouvement
    • Permet une très faible consommation d’énergie.

    Un disque SSD est constitué uniquement de composants électroniques.

     

    Son utilisation

    Les performances d’un ordinateur sont facilement optimisées grâce à la vélocité et à la fiabilité du disque SSD. En effet, il est utilisé pour accélérer tous les équipements informatiques.

    Inséré sur un ordinateur, le disque SSD permet alors un démarrage plus rapide et de travailler plus vite également.

     

    Le disque dur SSD et ses inconvénients

    Son prix, sa capacité de stockage ainsi que sa durée de vie sont les principaux inconvénients du disque dur SSD.

     

    Sa capacité et durée de vie

    Ainsi, au bout d’un certain temps, le disque s’use : il subit une diminution de sa capacité. En effet, les données sont limitées en termes d’écriture, mais seulement après des années d’utilisation en continu.

     

    Son prix

    Le coût de stockage sur un disque SSD est élevé. Il faut compter 300€ en général pour un disque dur interne de 2,5’’ de 1 To, par exemple.

     

    Si vous souhaitez en savoir plus sur le stockage de données, allez lire notre article à ce sujet !

    Comment bien choisir son offre de sauvegarde de données ?

    En informatique, la sauvegarde de données est autant importante pour un particulier qu’un professionnel.

    Appelée aussi « backup » en anglais, la sauvegarde informatique est l’action qui consiste à enregistrer, dupliquer et mettre en sécurité les données qu’un système informatique contient. Cela a pour objectif de garantir leur conformité sur le long terme. La sauvegarde de données peut donc être apparentée à une assurance vie, elle vous protège en cas de perte ou de vol de vos données.

    Néanmoins, face à la multitude d’offres pouvant exister chez les registars, il peut être difficile d’y voir clair. Voici donc 6 critères de choix pour avoir la bonne méthode de sauvegarde pour vos données professionnelles.

     

    Externalisation

    Pour les données de votre entreprise, il vaut mieux prévoir de les sauvegarder hors des locaux. Pour cela, vous avez le choix entre plusieurs solutions :

    • Bandes LTO (Linear Tape-Open) : bandes magnétiques pour stocker un gros volume de données à long terme.
    • Disques RDX : système simple et rapide (environ 5h) de sauvegarde des données.
    • Réplication sur un site distant ou dans le Cloud : processus sécurisé de partage de mêmes informations sur plusieurs périphériques. Sur le cloud, cela permet de cloner votre environnement.
    • Externalisation réseau : transfère de services à d’autres sociétés dont c’est la spécialité.

     

    Restauration

    protection des données

    Sauvegarder vos données n’est pas suffisant, vous devez pouvoir les restaurer. D’ailleurs, la restauration est le critère le plus important dans la sauvegarde. Elle permet la récupération des données perdues lors d’un souci technique ou d’une manipulation défectueuse.

    SI nous avions un conseil à vous donner, nous vous dirions de choisir un dispositif simple et rapide pour avoir accès de nouveau à vos données en un rien de temps.

     

    Administration

    Evitez les journées improductives et programmez votre sauvegarde de données lorsque vous n’êtes pas en entreprise. Cette sauvegarde ne doit donc pas vous prendre trop de temps au quotidien et doit pouvoir se lancer toute seule si besoin, à un moment où vous ne serez pas forcément dérangé.

    L’administration consiste donc à vérifier si tout se passe comme il le faut dans le processus de sauvegarde. Un mail de la part de votre dispositif de sauvegarde vous est alors envoyé pour confirmer la préservation de vos données. Ce qui vous prend seulement 15 secondes par jour pour ouvrir ce mail.

     

    Gestion des rétentions et des archives

    Il est primordial que vous gardiez plusieurs versions de sauvegarde de vos données pour en conserver des versions non endommagées. Effectuer une simple copie de vos données à un instant T n’est pas assez : si un virus a abîmé cette copie, alors vos données seront aussi infectées.

    Pour les données à archiver, il est préférable de les stockez sur des dispositifs externes afin d’éviter l’encombrement de votre espace disque.

     

    Simplicité et maintenance

    Choisissez LE dispositif de sauvegarde qui vous fera gagner du temps grâce à son autonomie.

    Ainsi, tout ce qui vient impacter votre temps de travail au quotidien, comme les mises à jour, les dysfonctionnements informatiques, les bugs, etc. sera géré par ce dispositif.

     

    Facilité d’utilisation

    Toutes les entreprises ne disposent pas de professionnels de l’informatique pour gérer la sauvegarde de données de leur entreprise. Mais, même ceux-ci peuvent parfois avoir du mal à résoudre certains problèmes de sauvegardes si les dispositifs sont trop complexes.

    Alors, il faut que vous trouviez la solution de sauvegarde la plus intuitive et facile à utiliser pour que vous soyez prêt rapidement en cas d’incident.

     

    Choisissez donc une solution de sauvegarde en fonction de vos besoins et de la taille de votre entreprise. Le plus important est la bonne restauration de vos données.

    Le Big Data : c’est quoi ?

    Le phénomène Big Data

     

    donnéesInventée par les géants du web, l’expression « Big Data » est apparue en 1997. Celle-ci décrit les volumes massifs de données présentes sur le web. Ce qui correspond aux informations provenant de partout autour de nous. Ainsi, les chercheurs ont dû trouver de nouvelles façons de percevoir et d’analyser le monde pour la recherche, le partage, le stockage, l’analyse et la présentation des données.

    De plus, ces mégadonnées, désignent un ensemble de données numériques issues de l’utilisation des nouvelles technologies, à des fins professionnelles ou personnelles. Elles permettent donc le stockage d’une immensité d’informations sur un support numérique.

    Ainsi, leur exploitation a ouvert de nouvelles perspectives dans divers domaines tels que la communication, la politique, la recherche scientifique, l’écologie, le commerce, etc.

    La croissance de ces données est arrivée en même temps que l’évolution des systèmes de traitement et de stockage des données.

    Les Big Data ont été déployées en premier par les géants du web. Ces technologies sont considérées comme une source de perturbation profonde de la société. Elles permettent alors à tous d’avoir accès en temps réel à des bases de données géantes.

    Cependant, la crédibilité incertaine et la quantité immense d’informations qui circulent sont les principaux problèmes engendrés par les Big Data.

     

    Le Big Data et la règle des 5V

     

    • Volume :

    Les Big Data représentent une quantité conséquente de données à traiter par seconde.

     

    • Variété :

    Les informations proviennent de multiples sources. La plupart des données sont non-structurées (images, vidéos, textes, etc.). Les mégadonnées permettent l’analyse, l’identification, la comparaison, la classification des informations de divers genres tels que des messages sur les réseaux sociaux, des vidéos sur des sites, etc. Tout ceci composent la variété des Big Data.

     

    • Vélocité :

    La constitution et le développement des informations (partage, collecte, fréquence de création des données) se font à grande vitesse. Les contenus publiés se répandent très rapidement et peuvent devenir viraux.

     

    • Véracité :

    Elle désigne l’authenticité des données collectées. Etant donné la quantité indénombrable de données collectées, il est difficile de légitimer leur crédibilité et fiabilité (abréviations, hashtags, fautes d’orthographes…). Toutefois, ce type de données sera géré plus facilement avec l’avènement de nouvelles techniques. Ces dernières sont celles du World Wide Web Consortium (W3C) qui garantit la croissance durable du web.

     

    • Valeur :

    Les entreprises peuvent tirer profit du Big Data. Les avantages qu’il génère permettent d’avoir un privilège concurrentiel sur le marché. Ceci à condition que les entreprises s’en servent.

    Pourquoi et comment transférer son nom de domaine ?

    Vous êtes insatisfait de votre bureau d’enregistrement actuel ? Vous avez l’intention de modifier la propriété du domaine ? Vous pouvez effectuer un transfert de nom de domaine, que ce soit pour vous-même ou une tierce personne, à tout moment.

     

    Vous orienter vers une offre plus intéressante

     

    Si vous n’avez pas accès à toutes les fonctionnalités et les services dont vous avez besoin, orientez-vous vers une autre offre plus intéressante chez un nouveau registar ou bureau d’enregistrement. Pour cela :

    • Déterminez les avantages et inconvénients de chaque registar.
    • Evaluez les tarifs pour savoir si ces fonctionnalités sont gratuites ou vont engager des frais supplémentaires. Comparez les prix pour trouver les meilleurs services adaptés à vos besoins.
    • Regardez si ces fonctionnalités permettent une gestion du domaine facilitée ou nécessitent des opérations manuelles.
    • Assurez-vous d’avoir un accès au service client (si besoin).
    • Renseignez-vous sur l’identité des fournisseurs: s’il s’agit de services de messagerie et d’hébergement web ou de collaborations avec des autres fournisseurs.

     

    De nombreux bureaux d’enregistrement existent facilitant le transfert du domaine. Même si les registars différent au niveau de leur processus, ils disposent néanmoins de fonctionnalités communes et qui vous garantissent une sécurité optimale lors du transfert. En effet, vous avez la possibilité de :

    • Verrouiller votre transfert pour éviter le transfert sans que vous soyez au courant,
    • Avoir accès aux codes d’autorisation (comme « codes EPP » ou encore « codes de transfert ») pour vérifier l’autorisation de transférer le domaine entre deux bureaux,
    • Obtenir des e-mails confirmant le transfert du domaine à la bonne personne.

     

    Les étapes à suivre pour le transfert de votre nom de domaine

     

    1- La préparation du transfert

    Nom de domaine

    Avant de vous lancer dans le transfert de votre nom de domaine, vous devez prendre en compte la date d’expiration (14 jours au moins). En effet, cela vous évitera de réaliser une demande de transfert alors que votre nom de domaine est expiré.

    Lorsque vous choisissez de transfert votre nom de domaine, votre identité doit être validée. Ainsi, veillez à bien vérifier votre adresse mail pour assurer la bonne réception des emails.

    Enfin, il vous faudra choisir votre registar. Comment ? Pour cela, il suffit de suivre les conseils que nous vous avons donnés un peu plus haut. Mais si vous avez vraiment besoin d’un nouveau registar, pourquoi ne pas choisir Cloud Expert ? D’ailleurs, pour transférer votre nom de domaine, c’est par ici : https://webshop.cloudexpert.fr/cart.php?a=add&domain=transfer

     

    2- La demande de transfert

    Lorsque vous demandez le transfert de votre nom de domaine, il est impératif de disposer du code de transfert. Pour cela, vous devez vous rendre sur le site de votre ancien bureau d’enregistrement et en faire la demande. Attention, car celui-ci n’est fourni que lorsque vous avez activé le transfert.

    Cette demande de code, reçue dans un délai variable, permettra de vous éviter tout risque de vol. La validation de cette demande vous sera donc envoyée par mail.

     

    3- La récupération du code de transfert

    Vous pouvez récupérer votre code soit dans le mail que vous avez reçu, soit sur l’ancien bureau d’enregistrement, sur votre espace en ligne. Tout dépend de votre registar.

    Le petit conseil de Cloud Expert : Pour vous éviter de faire des erreurs dans en copiant votre code de transfert, il est préférable de le copier/coller.

     

    4- La finalisationDifférents domaines

    Avec ce code, vous pourrez entamer la procédure de transfert chez votre nouveau prestataire. Celle-ci prendre jusqu’à 5 jours.

    D’ailleurs, lorsque vous changer de registar, n’oubliez pas d’adhérer à des services équivalents voire supérieurs à votre précédente offre.

     

    Maintenant que vous savez comment effectuer le transfert de votre nom de domaine, il ne vous reste plus qu’une seule étape : changer les systèmes de noms de domaine (DNS) afin d’orienter votre nom de domaine vers votre hébergeur. Mais ça, c’est une autre histoire !

    Nom de domaine : comment bien le choisir ?

    Aujourd’hui, lorsque vous décidez de créer votre site web, choisir un nom de domaine est une des étapes obligatoire. Sans un bon nom de domaine, ou même un hébergement web, personne ne pourra accéder à votre site web.

    Pourquoi ? Parce qu’il s’agit de l’adresse de votre site. Pour simplifier les choses, le nom de domaine peut être comparé à l’adresse postale de votre entreprise, mais sur le web. Grâce à elle, vos clients, prospects, fournisseurs, contacts vont pouvoir vous trouver sur le web. Il permet donc de former avec les « www » et l’extension (.fr, .com, .net…), l’url de votre site web.

    Néanmoins, le choisir peut être problématique. Avec plus de 2 milliards de sites web en ligne, difficile en effet d’échapper à la concurrence. C’est pourquoi Cloud Expert, votre spécialiste en hébergement web et stockage de données, vous donne quelques astuces pour bien choisir votre nom de domaine. Alors suivez le guide !

    1 – Utilisez le nom de votre entreprise pour choisir votre nom de domaine

    En général, lorsque vous choisissez un nom de domaine, mieux vaut privilégier le nom de votre entreprise voire de votre marque. Pourquoi ? Parce qu’il est fort probable que les internautes tapent le nom de votre entreprise pour vous trouver sur le web. Cette technique vous permettra d’ailleurs d’éviter d’avoir à utiliser certains leviers webmarketing que vous ne maîtrisez pas forcément comme les réseaux sociaux ou encore le référencement naturel.

    Ainsi, choisir le nom de votre entreprise ou de marque vous permet de bénéficier de la notoriété de celle-ci pour être visible sur le web. Néanmoins, rien ne vous empêche de choisir un nom de domaine plus court et plus facile à retenir que le nom de votre entreprise.

    2 – Évitez les tirets

    En choisissant votre nom de domaine, évitez les chiffres et les tirets. En effet, désormais, il faut aussi penser que les internautes naviguent plus facilement sur le web depuis leur téléphone. Ainsi, rajouter des tirets, ou des chiffres, oblige les internautes à passer du clavier normal au clavier numérique.

    Alors oui, ce n’est pas dramatique, mais sachez cependant que cela contribue à rallonger le temps de saisie et également la lecture. Malgré tout, si vous choisissez un nom de domaine avec tiret, pensez tout de même à faire une redirection 301 afin de rediriger le nom de domaine sans tiret vers celui avec tiret.

    3 – Choisissez un nom de domaine court

    En termes de nom de domaine, mieux vaut faire court. Ils sont plus faciles à saisir, mais également plus facile à retenir. Ainsi, les noms courts résisteront plus facilement à la recherche sur différents périphériques.

    Souvenez-vous qu’il est toujours plus long de taper sur smartphone et tablette qu’au clavier de votre ordinateur. Alors un conseil, lorsque vous choisissez votre nom de domaine, tapez le nom de domaine que vous avez choisi dans la barre de recherche de votre moteur de recherche. Et si vous êtes rapide, demandez à quelqu’un qui n’est pas habitué de taper le nom pour vous depuis un smartphone.

    4 – Choisissez la bonne extension

    D’ordre général, l’extension .com est la plus utilisée. En effet, 75% des domaines enregistrés le sont encore en .com. Néanmoins, on constate que les domaines nationaux sont de plus en plus utilisés. La faute au référencement naturel, car une extension nationale aura plus de chance d’être mieux référencé sur le territoire national.

    Cependant, l’extension peut également dépendre de votre activité. Par exemple, une association aura tendance à utiliser l’extension .org. De même, pour les sites se rapportant à une application web, il est plus commun d’utiliser l’extension .io. Dans tous les cas, vous avez la possibilité d’acheter plusieurs extensions et de réaliser une redirection 301.

    5 – Un mot-clé dans son nom de domaine : une bonne idée ?

    Bien entendu, pour vous aider à choisir, vous avez la possibilité de réaliser une recherche de mots-clés. Cela vous permettra ainsi de disposer d’un ensemble de mots se rapportant à votre domaine d’activité. Cela pourra également vous aider pour votre référencement. Sachez que plus de 60% des domaines qui sont les plus performants ont des mots-clés dans leur URL.

    Ceci dit, ce n’est pas une obligation. Voyez cela comme un bonus plutôt que comme une véritable obligation. N’en abusez pas non plus, car ceux-ci pourraient, au contraire, nuire à votre référencement. Alors oui aux mots-clés, mais non à la surcharge !

    6 – Choisissez le bon registar !

    Pour acheter votre domaine, il vous faudra choisir votre registar. Un registar est une société qui permet de réserver, enregistrer et déposer un nom de domaine. En règle générale, le registar vous proposera également un hébergement, ce qui vous permettra de stocker les données de votre site pour que celui-ci soit accessible.

    Normalement, la plupart des hébergeurs web proposent également l’achat de nom de domaine. Chez Cloud Expert, vous avez la possibilité de choisir votre domaine, mais également de choisir votre hébergement web. Vous pourrez disposer d’une offre complète avec des formules simples et économiques.

    Ainsi, trouver le nom de domaine parfait n’est pas forcément chose aisée. Néanmoins, une fois que vous l’aurez trouvé, n’oubliez pas de regarder si celui-ci est disponible ou non. Chez Cloud Expert, vous avez la possibilité de vérifier en un rien de temps si votre domaine est disponible ou non. Et si vous avez encore du mal à choisir, vous pouvez très bien utiliser un outil de recherche de nom de domaine comme DomainWheel ou même NameMesh.

    Comment bien sécuriser son cloud ?

    Aujourd’hui, le cloud computing est utilisé par beaucoup d’entreprises. D’ailleurs, sécuriser son cloud est devenu un enjeu de taille. Pourtant, beaucoup de structures sont encore frileuses à l’idée de passer au tout digital et, surtout, au cloud.

    Le cloud computing dispose de nombreux avantages. Ce type de service permet ainsi de stocker et accéder à l’ensemble des données de l’entreprise via internet. Vos équipes peuvent alors travailler à distance, partager leurs documents, collaborer sur différents dossiers ou même partager certaines ressources avec leurs clients, fournisseurs ou partenaires. Pour cela, une simple connexion internet suffit.

    Cependant, aujourd’hui, il existe de nombreuses solutions pour vous permettre de sécuriser votre cloud de manière efficace. Les experts de Cloud Expert vous donnent quelques trucs et astuces pour bien sécuriser votre cloud.

    1 – Sécuriser son cloud : réalisez un petit audit

    Le plus simple avant de vous lancer est encore de faire un état des lieux de ce que vous avez et des différentes vulnérabilités auxquelles vous pourriez être soumis. Quelles sont les failles les plus critiques et donc celle à combattre en priorité ? Quels sont les points faibles de votre système d’information (serveur, postes de travail…) ?

    Repassez tout en revue et réalisez, au besoin, des tests d’intrusion pour que vous puissiez définir avec exactitude vos besoins. Vous aurez même l’occasion de découvrir des stockages et partages de fichiers réalisés par des salariés sans que vous, ou votre DSI, ne soyez au courant.

    2 – Choisissez la solution adaptée à votre réseau

    Pour protéger votre réseau, vous avez différentes possibilités. Tout dépend du type de données que vous devez sécuriser. Il n’y a pas de solutions miracle mais, vous avez la possibilité d’opter pour différentes solutions pour protéger au maximum vos données.

    Chez Cloud Expert, nous proposons un antivirus complet qui vous offrira une sécurisation optimale de vos infrastructures. Celui-ci vous permet de disposer d’une protection anti-spyware, antivirus, un pare-feu pour éviter d’éventuelles intrusions et une sécurisation optimales de votre environnement web.

    Bref, vous disposez d’un antivirus complet, protégeant un maximum vos infrastructures et vous permettant de tout gérer et surveiller à partir d’une interface simple et intuitive aussi bien via ordinateur que smartphone.

    3 – Et si vous optiez pour un Virtual Private Cloud ?

    En général, les offres cloud sont mutualisées. Pour faire simple, vous disposez d’un espace de stockage sur un serveur partagé entre plusieurs personnes. Cependant, vous n’aurez pas un contrôle plein et entier de votre cloud. Ainsi, vous pouvez demander à votre prestataire de vous octroyer un cloud privé.

    Bien évidemment, vous devrez aussi mettre en place différentes solutions pour vous permettre de sécuriser efficacement votre cloud. Néanmoins, chez Cloud Expert, notre équipe est toujours prête à vous conseiller et vous aider à mettre en place les meilleures solutions pour vous et vous aider à sécuriser vos données.

    4 – Sécuriser votre cloud : vérifiez les certifications de votre prestataire

    Un prestataire cloud dispose normalement de data center pour stocker l’ensemble de vos données et celles de ses autres clients. Sachez donc qu’un data center peut disposer d’une certification qui vous permettra de savoir si vos données seront ou non en sécurité sur le cloud.

    D’ailleurs, le seul véritable organisme qui délivre une certification est l’Uptime Institute. Ainsi, celle-ci permet de classer les data center suivant différents niveau de TIER I à TIER IV. Tier I étant le niveau le plus faible et Tier IV le plus élevé. Chez Cloud Expert, notre data center est certifié TIER III, vous offrant une excellente sécurisation de vos données et permettant de stocker les données sensibles et stratégiques. D’ailleurs, vous pouvez consulter notre article sur la certification des data center pour en savoir plus.

    5 – Et si vous preniez une « assurance » ?

    Si avec tout ça, vous avez tout de même peur de perdre vos données ou de vous les faire voler, vous pouvez toujours disposer d’un service de backup de données. Qu’est-ce que c’est ? Il s’agit d’un service qui vous permet de sauvegarder vos données et de les retrouver en cas de perte de vol ou même de suppression accidentelle.

    Chez Cloud Expert, nous proposons également une offre backup qui vous permettra de retrouver l’ensemble de vos données. Ainsi, le backup peut venir en complément de votre offre cloud et vous offrira une sécurisation de vos données optimale.

    Chez Cloud Expert, nous considérons que vos données sont précieuses et capitales pour votre entreprise. C’est pourquoi nous proposons un éventail de service pour permettre de sécuriser vos données de manière optimale. Nos experts sont là pour vous conseiller au mieux et vous aider à choisir les meilleures offres pour vous et votre entreprise. Besoin d’en savoir plus sur nos offres cloud ? Contactez-nous dès maintenant !

    Infogérance : quels avantages pour votre entreprise ?

    L’infogérance est toujours très utilisée dans le langage des sociétés informatique. Il s’agit tout simplement de permettre à une entreprise de déléguer à un prestataire extérieur la gestion, l’optimisation et la sécurisation de son parc informatique ou de ses serveurs.

    Aujourd’hui, l’infogérance est proposée par toutes les entreprises informatiques. Ils mettent ainsi en avant une solution qui vous permet de vous centrer sur votre cœur de métier, mais également de vous permettre d’avoir un parc informatique performant.

    Mais quelle est la véritable valeur ajoutée d’une telle prestation ? Pourquoi faire appel à un service d’infogérance et quelles entreprises peuvent être concernées par ce type d’offres ?

    1 – Infogérance : une meilleure performance

    Grâce à l’infogérance, votre parc informatique dispose d’une meilleure performance. Pourquoi ? Parce que c’est une entreprise spécialisée en infrastructure informatique qui va gérer votre parc. Ainsi, vous aurez la possibilité de disposer d’outils adaptés à votre entreprise.

    De même, ces prestataires doivent sans cesse se tenir au courant des dernières évolutions dans leur secteur. Grâce à cette veille constante, ils pourront mettre en place et appliquer les dernières techniques plus vite qu’une personne que vous aurez en interne.

    Enfin, ce type de prestation vous permet de disposer d’une aide technique efficace. Pourquoi ? Parce que votre prestataire aura déjà rencontré de nombreux problèmes et bugs, parfois chez d’autres clients. Cela lui permettra de mettre en place des solutions plus rapidement pour vos infrastructures.

    2 – Gagnez du temps et de l’argent grâce à l’infogérance

    Vous l’aurez compris, l’infogérance vous permet de gérer l’ensemble de vos infrastructures sans vraiment avoir besoin d’y investir du temps. Vous avez un problème ? Il vous suffit de passer un petit coup de fil à votre prestataire pour le régler.

    De plus, cette solution vous permet de réduire vos coûts de manière non-négligeable. Grâce à l’infogérance, vous n’avez pas à internaliser cette compétence. De même, vous disposez d’une prestation entièrement personnalisée allant de quelques heures à plusieurs jours par mois. C’est vous qui choisissez !

    3 – Une sécurisation de vos données optimale

    L’infogérance est également un excellent moyen de disposer d’une sécurisation optimale de vos infrastructures. En effet, grâce à l’infogérance, des solutions pour pérenniser vos infrastructures vous seront proposées. Vous aurez donc à votre disposition un panel de solutions qui vous permettront de mettre vos données, et vos postes informatiques, à l’abri des tentatives de piratage.

    Vous aurez tout à disposition pour faire en sorte que vos données et votre parc informatique soit en sécurité totale. Votre prestataire pourra vous proposer des solutions de backup ou même un antivirus qui sera adapté à votre entreprise.

    Infogérance : quelles conséquences pour votre entreprise ?

    L’infogérance vous permet d’avoir l’esprit tranquille et de vous concentrer sur votre cœur de métier. Néanmoins, c’est vous qui choisissez le domaine sur lequel vous souhaitez que votre prestataire intervienne. Pour cela, tout dépend de ce dont vous avez besoin.

    Ainsi, votre prestataire pourra intervenir sur vos serveurs, votre parc informatique, vos systèmes de télécommunications, votre sécurité informatique ou même vos mails. Dans la réalité, tous ces points sont importants.

    Mais pour plus d’efficacité, mieux vaut faire appel à un prestataire, comme Cloud Expert, qui dispose de toutes les compétences pour faire de votre système informatique un outil efficace et puissant. Ainsi, chez Cloud Expert, lorsque vous nous sollicitez pour nous occuper de vos infrastructures nos experts vous conseillent sur les solutions les plus adaptés à vos besoins et ceux de votre entreprise. Si vous désirez en savoir plus, contactez-nous dès maintenant ou RDV sur notre site !

    Data center : les différentes certifications existantes

    Un data center ou centre de données est une sorte d’immense entrepôt constitué d’infrastructures informatiques et d’espaces de stockages. Celui-ci permet de traiter, stocker et organiser un grand nombre de données. Il regroupe ainsi : des serveurs, des onduleurs ou encore des racks et des câbles.

    Il est conçu pour conserver les données de différentes entreprises. En particulier, lorsqu’il s’agit d’un centre de données détenu par un professionnel de l’hébergement web. C’est pourquoi, il est nécessaire de garantir une sécurité optimale et d’assurer la fiabilité des services proposés.

    Ainsi, plusieurs organismes permettent de classifier les data center selon certains critères. Cependant, seul l’Uptime Institute permet de délivrer une véritable certification. L’objectif ? Classer les data center selon 4 niveaux et évaluer la qualité et la fiabilité de leurs infrastructures.

    1 – Data center avec certification TIER I

    Un data center est certifié TIER I  lorsqu’il dispose d’un seul circuit électrique et de refroidissement. Ne disposant d’aucun élément redondé, il offre une disponibilité de 99,67% pour une interruption annuelle de 28 heures.

    Il s’agit ainsi du niveau de sécurité le plus bas et ne vous prémunit aucunement contre d’éventuellement pannes. Ainsi, si vous choisissez de confier vos données à un data center certifié TIER I, mieux vaut ne pas y stocker vos données sensibles ou stratégiques.

    2 – Certification TIER II

    A ce niveau de certification, le centre de données dispose d’un seul circuit de refroidissement et électrique mais certains éléments sont redondés. Il offre une disponibilité de 99,75% avec une interruption de maximum 22 heures par an.

    Ainsi, pour un data center certifié TIER II, la distribution de froid et d’électricité n’est pas redondée. Vous pourrez vous exposer à quelques soucis d’accessibilité de vos données. Un conseil donc, ne stockez pas l’essentiel de vos données sensibles et faites une sauvegarde de vos données.

    3 – Data center certifié TIER III

    Ce type de certification n’est accordé qu’aux centres de données disposant de plusieurs circuits de distribution électrique et de refroidissement. De plus, tous les composants doivent être redondés et tout le matériel doit disposer d’une double alimentation. En général, la disponibilité est de 99,982% pour une interruption qui ne doit pas excéder 1 heure et demie.

    Les data center certifiés TIER III vous offrent une excellente sécurisation de vos données. Vous pouvez y stocker vos données sensibles et stratégiques. Pour une sécurisation optimale de vos données, vous pouvez également avoir recours au backup de données. Vous aurez ainsi l’assurance de toujours disposer de vos données en cas de perte, de vol ou même d’intempéries.

    4 – Certification TIER IV

    La certification TIER IV est la certification la plus contraignante et la plus complexe à obtenir. Pour obtenir une telle certification, chaque composant doit être redondé. Le circuit de refroidissement est continu et permet de maintenir une température idéale, même en cas de panne électrique.

    Ce type de data center supporte largement les arrêts imprévus et vous offre une disponibilité de 99,995% pour une interruption de 48 minutes maximum par an. En choisissant un data center certifié TIER IV, vous avez la garantie d’une haute disponibilité de vos données.

    Aujourd’hui avec l’essor du cloud computing et des nouveaux moyens de travailler, le stockage de données est devenu un enjeu stratégique pour les entreprises. Ainsi, choisir le data center adapté à vos besoins et devenu une question cruciale. Chez Cloud Expert by TCT Télécom, notre data center est certifié TIER III et vous offre une grande disponibilité pour vos data. Vous pouvez consulter notre site pour en savoir plus ou bien nous contacter directement. Nos experts sont là pour aider et vous conseiller au mieux pour que vos data soient sécurisées et stockées de manière fiable et efficace.

    Qu’est-ce qu’un hébergement web ?

    L’hébergement web permet de mettre à disposition des utilisateurs les sites web conçus et gérés par des tiers. Il donne un accès au contenu déposé dans leurs web hosting par la personne responsable de l’administration technique ou éditoriale du site.

    L’hébergement web existe réellement depuis 1991 : c’est cette année-là que la Fondation nationale pour la science aux Etats-Unis (NSF) enlève les restrictions commerciales sur le Web. Utilisé jusque-là uniquement pour l’éducation et la recherche, NSFNET devient alors accessible pour les organisations à but lucratif.

    Quelques années plus tard, lorsque le World Wide Web devient la méthode par défaut pour accéder à internet, le NSFNET est désaffecté. Lorsque les entreprises se sont rendu compte du potentiel de la communication web, la nécessité d’une offre pour héberger son site internet est née.

    web hosting

    Les différents types d’hébergement web

    Aujourd’hui, il existe différents types d’hébergement :

    • Mutualisé : plusieurs sites sont hébergés par le même serveur. Il s’agit de la forme d’hébergement la plus économique et la plus courante.
    • Dédié : les serveurs dédiés sont des serveurs qui sont mis à disposition d’un seul client par un hébergeur. Ils sont utilisés pour un fort trafic ou pour optimiser la sécurité. Leur inconvénient est qu’ils sont plus coûteux. De même, des connaissances techniques sont nécessaires pour pouvoir l’administrer.
    • VPS (virtual private server) : le serveur virtuel consiste à créer plusieurs serveurs virtuels sur un même serveur réel. Un VPS dispose d’un bon rapport prix-performance et s’adapte aux besoins de votre entreprise.

    A quoi ça sert ?

    L’hébergement web vous permet de rendre votre site accessible à tous moment par les utilisateurs. Qu’il s’agisse d’un blog, un site vitrine ou même un site e-commerce, vous aurez besoin d’un bon hébergement web. Vous pouvez ainsi choisir ce qui vous convient le mieux entre un hébergement web mutualisé, un VPS ou même un serveur dédié.

    L’hébergement mutualisé convient particulièrement aux petits sites ayant un faible trafic. Idéal pour les sites vitrines, il est aussi celui qui est le plus couramment utilisé.
    Si vous souhaitez avoir un hébergement évolutif et qui s’adapte à vos besoins, mieux vaut prendre un VPS. Adaptable, il est parfait pour les sites ayant un trafic moyen et auxquels est apporté de nombreuses modifications et évolutions.

    Enfin, un serveur dédié peut être utile lorsque votre site dispose d’une audience très forte. Celui-ci vous permettra non seulement d’accroître la vitesse de votre site, mais également de disposer de votre propre système d’exploitation.

    Attention cependant à bien choisir votre offre. Vous devrez prendre en compte un certain nombre d’éléments. Chez Cloud Expert, vous pouvez choisir entre hébergement web, VPS et serveur dédié. Nos experts vous conseilleront au mieux pour que vous disposiez d’une solution performante. Vous souhaitez en savoir plus ? Contactez Cloud Expert dès maintenant !

    VPS ou serveur dédié : comment choisir ?

    Aujourd’hui, les entreprises ont de plus en plus recours à la numérisation des documents et au télétravail. La faute au Coronavirus mais pas seulement puisque, déjà, les entreprises avaient recours à ce type particulier de travail. On peut dire que la Covid-19 aura surtout précipité la transformation digitale de certaines entreprises et modifié profondément leur façon de concevoir le travail.

    Ainsi, beaucoup ont eu recours au cloud. Sans vraiment prendre le temps de se renseigner et dans l’urgence, ces entreprises ont peut-être fait les mauvais choix d’infrastructures. En effet, certaines solutions peuvent être plus adaptées que d’autres et vous permettre de réaliser des économies non négligeables ou vous fournir une sécurisation plus grande de vos données.

    Vous pouvez héberger les données de votre entreprise sur un serveur dédié, dans un datacenter sécurisé, ou bien sur un serveur privé virtuel. Vous avez le choix. Mais choisir entre une infrastructure et une autre peut s’avérer complexe. Pour vous aider, nos experts vous expliquent comment choisir entre un serveur privé virtuel et un serveur dédié.

    VPS vs serveur dédié comment choisir

    VPS ou serveur dédié : définition

    Avant de commencer à parler des critères à prendre en compte dans votre choix entre VPS et serveur dédié, mieux vaut vous donner quelques notions de base. Un VPS, qu’est-ce que c’est ? Il s’agit en fait d’un serveur privé virtuel ou aussi Virtual Private Server. Un VPS est obtenu grâce à la partition d’un serveur physique en plusieurs serveurs. Les serveurs virtuels sont ainsi indépendants les uns des autres et disposent chacun d’un OS qui leur est propre.

    A contrario, un serveur dédié est un serveur physique qui vous est exclusivement réservé et se situe au sein d’un datacenter. Il est entièrement à votre disposition et vous l’administrez comme bon vous semble. Néanmoins, les ressources d’un serveur dédié ne sont généralement utilisées qu’à  20%. De quoi faire réfléchir sur l’utilité ou non d’un serveur dédié.

    VPS ou serveur dédié : quels critères prendre en compte ?

    Chez Cloud Expert, le principal c’est que vous ayez une solution adaptée à vos besoins. Nos experts sont d’ailleurs prêts à vous écouter pour vous offrir la meilleure des solutions. Alors pour choisir entre serveur dédié et VPS, voici quelques points auxquels vous devrez faire attention.

    1 – La performance

    En règle générale, un serveur dédié vous permet de disposer de performances plus étendues qu’un serveur privé virtuel. En effet, ils sont souvent dotés d’un processeur de 4 à 10 cœurs, d’une mémoire pouvant aller jusqu’à 500 Go mais également d’une mémoire RAM pouvant atteindre les 256 Go. Face à cela, le VPS a une mémoire RAM qui n’excède que très rarement les 48 Go.

    Alors oui, le serveur dédié est nettement plus performant que le VPS, mais, nous l’avons dit plus haut, les entreprises n’utilisent en général que 20% des ressources de leur serveur dédié. Face à un tel constat, est-il vraiment nécessaire pour votre structure d’utiliser un serveur dédié ou n’est-il pas mieux de passer par un VPS ?

    Mais attention car si le VPS est moins performant, il est aussi plus flexible qu’un serveur dédié et peut facilement être adapté à vos besoins. Pourquoi ? Parce que lorsque vous faites évoluer votre serveur dédié, il faut également prendre en compte le temps de maintenance et donc l’arrêt de service. Avec le VPS, quelques clics suffisent pour l’upgrader, sans aucune interruption de service.

    VPS vs serveur maintenance

    2 – La sauvegarde des données

    Bien évidemment, votre VPS ou votre serveur dédié nécessite une sauvegarde de données. Mais, là encore, vous devrez prendre en compte le mode de sauvegarde. Pourquoi ? Parce qu’un serveur dédié vous permet de sauvegarder vos données avec un logiciel spécialement prévu à cet effet. Vive les sauvegardes manuelles !

    Pour le VPS, en revanche, vous avez le luxe de pouvoir choisir entre sauvegarde manuelle et instantanée. Une sauvegarde instantanée, aussi appelé « snapshot » vous permet donc d’avoir une sauvegarde ultra-complète de votre appareil.

    3 – Et si nous parlions maintenance ?

    Pour la maintenance, là encore serveur dédié et VPS nécessite une attention bien différente. Pourquoi ? Parce qu’un serveur dédié est un serveur physique, qui nécessite une intervention physique en cas de problèmes.

    Pour le VPS, vous n’avez pas à vous souciez d’une quelconque intervention physique. En effet, avec un serveur privé virtuel vous disposez d’un taux de disponibilité assuré par votre hébergeur. C’est votre prestataire qui s’occupe de la partie hardware et vous permet de disposer d’un taux de disponibilité optimal.

    VPS vs serveur maintenance

    4 – VPS vs serveur dédié : Et le prix ?

    Là encore, les prix entre serveur dédié et serveur privé virtuel varient fortement. En effet, le prix d’un serveur dédié est beaucoup plus conséquent que celui d’une VPS. Pourquoi ? Parce que le serveur dédié nécessite une configuration matérielle. Votre fournisseur sera alors obligé d’intervenir physiquement si, bien entendu, vous disposez d’un contrat d’infogérance.

    Côté VPS, le coût est beaucoup plus abordable. Plus facilement accessible, vous pouvez utiliser un logiciel pour effectuer l’installation. Même du point de vue de la maintenance, le VPS est encore celui qui offre les meilleurs tarifs puisqu’un VPS est sur un serveur partionné un plusieurs serveurs virtuels. Ainsi, le coût de la maintenance est divisé entre plusieurs entreprises, ce qui est loin d’être le cas pour un serveur dédié.

    Le serveur dédié : pourquoi l’utiliser ?

    Maintenant, si vous préférez un serveur dédié, ne paniquez pas en pensant qu’il est beaucoup moins avantageux qu’un VPS. Les deux types de serveurs possèdent leurs qualités comme leurs défauts. Ainsi, le serveur dédié vous permet tout de même de bénéficier d’un certain nombre d’avantages :

    • Il est entièrement à votre disposition et vous ne le partagez avec personne ;
    • Il est sur-mesure et est adapté à vos besoins ;
    • Vous avez accès à l’ensemble des ressources de votre serveur dédié et vous offre ainsi de grandes performances.

    D’ailleurs, si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez aussi consulter notre article sur les serveurs dédiés ici !

     

    Vous l’aurez donc compris, si vous hésitez entre serveur dédié et serveur privé virtuel, il peut être plus avantageux de demander conseil à un expert du cloud. Chez Cloud Expert, nos experts sont disponibles pour vous aider à choisir la solution que vous convient le mieux. Alors n’hésitez pas à nous contacter via notre site ou par téléphone !